Étape passionnante, recouvrir en partie le carton de la construction, et ajouter les petits détails qui donnent de la vie et allègent le côté un peu massif de ce modèle, comme les mitrons des cheminées qui s’élancent multiples vers le ciel comme les tuyaux d’un orgue.
Un modèle « prêt à peindre »… mais on attendra un peu qu’il se repose. À suivre !
Ce boulot ! Ça va ère beau !
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J’espère Agnès ! Je laisse toujours reposer le modèle avant « mise en couleurs » (quelques projets en cours d’étude pour d’autres constructions). Cette étape peinture m’inquiète toujours un peu – à tord, il suffit en général de laisser le pinceau faire ce qu’il veut – mais il faut que la peinture ajoute au lieu de retirer ; souligner les volumes au lieu de les « peinturlurer », pas toujours facile…
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J’imagine bien ! Ça ne doit pas s’improviser sans, au début, se casser les dents ! C’est comme toute peinture. Pour réussir il faut du travail et souvent, pour moi en tous les cas, l’idée de la peinture murit dans ma tête… Jusqu’au moment où je prends les pinceaux car je sais ce que je veux faire et ça se fait tout seul… Enfin presque ! Au plaisir de voir votre construction aboutie. Bonne journée à vous. Agnès.
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C’est superbe ! Et quelle joie ce doit être de voir cela naître de ses mains !
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Merci ! Surtout pour moi qui ai toujours du mal à être blasé. Ce bonheur d’inventer des choses avec du carton et du papier remonte à l’enfance… et permet je suppose aussi de rester jeune ! Les jeux de mains ne sont pas toujours vilains, ha ha !
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