Sur les toits de Paris avec Alain Cornu

Bien sûr, comme tout passionné de Paris (et de ses toits), j’avais croisé ses photos sur Internet… évidemment sans nom ni crédit d’auteur.
Je découvre enfin le nom de leur auteur, grâce au merveilleux programme diffusé sur ARTE : Sur le toit des villes.

La simplicité avec laquelle il aborde ce travail si beau. Les toits de Paris, pas les plus célèbres ni les plus spectaculaires, les toits du quartier, ceux qui forment des réseaux couvrant tout un pâté de maison, sur lesquels on rêve de baguenauder le soir, avec des fenêtres ouvertes sur des cuisines, des salons où il vivent des gens ; des angles de vue étonnants, isolant des formes jusqu’à les rendre presque abstraites, et la beauté des éclairages souvent crépusculaires.

En savoir plus ? Tout est là, des toits et bien d’autres choses :
http://www.alaincornu.com/

Jeux du soleil sur plâtre et carton

Suite du précédent article consacré à la « mise en plâtre » de la Maison Haute # 1. Le plaisir des matières et de la lumière, celui aussi de découvrir « après coup » l’objet fabriqué grâce à la distance donnée par la photo.
(Les mauvaises langues diront que je documente photographiquement des étapes que mon manque de soin et/ou de talent risque de détruire dans la suite du processus de fabrication !!)

Paris, décembre 2015

Paris, Paris. Marcher, partout. Se réapproprier la ville, parcourir le plus possible de ses places, de ses coins de rue, de ses ruelles et impasses. Une reconquête, chaussures de marche contre « kalachs ». Gommer par le regard la trace des imbéciles qui l’ont ensanglantée le 13 novembre.

Balade en Périgord (1)

Pas de carton et pas Paris, mais une déambulation au soleil de septembre sur les routes de Dordogne. Premier épisode avec quelques témoignages photographiques de Sarlat-la-Canéda, de bien belles expériences visuelles et gustatives.

Sur les traces du Hussard de Giono (2)

Deuxième balade en Haute-Provence, cette fois en voiture / randonnée et en passant par Bellac et le Puy-en-Velay. Pour éviter de me ré-écrire, je vous renvoie pour le pourquoi et le comment de la première balade à un précédent article. Vous constaterez probablement pas mal de « redites » dans les photos d’un voyage à l’autre ‒ jusqu’au « café gourmand » de l’Aïgo Blanco à Forcalquier (miam !). Manque d’originalité de ma part ou suite dans les idées ? J’espère en tous cas que vous apprécierez ces quelques témoignages des villes et paysages que j’ai eu tant de plaisir à (re)découvrir…

Esquisses, « Rue de l’Abbaye »

Esquisse, projet

Recherches dans mon fatras de photos. Esquisses au crayon et à l’aquarelle sur le papier que j’affectionne – trop fin donc qui gondole. Le probable prochain modèle sera inspiré de quelques vieux clichés de la « Rue de l’Abbaye », trouvées sur la page Facebook de « John d’Orbigny Immobilier ». Il convient ici de saluer l’ami John, la profusion et la splendeur de l’iconographie (en particulier du vieux Paris) qu’il met ainsi à la disposition des internautes. Merci !

Ouh la. Mes commanditaires d’audiodescription s’agitent, plusieurs commandes dans l’air ; je reviens dès que j’ai le temps de reprendre mes ciseaux et mes pinceaux… À très vite !

Sur les traces du Hussard de Giono

Bon, après le ménage fait dans mes comptes et la suppression de toutes mes applications Google, j’ai réalisé… que mes albums Picasa avaient disparus. Bien sûr. Tant pis, d’autres infos que la NSA n’aura pas. Tout de même, ma randonnée au pays de Giono en avril/mai 2012 avait permis de faire de jolies photos que je serais heureux de repartager avec vous dans cet article. L’histoire avait commencé après avoir écrit l’audiodescription du « Hussard sur le toit » de Rappeneau et découvert les paysages de la montagne de Lure. Il y eut ensuite la lecture du cycle de Jean Giono et des précisions quant aux lieux de tournage dans les « panoramas de cinéma » de Tazbahn. Puis le sac à dos, et un petit périple Manosque-Sisteron en passant par Forcalquier, Banon et le Contadour…

Mon Sud à moi

Installé à Melle depuis maintenant plus de trois mois. La vie s’organise et déjà quelques échappées en vélo. Le pays mellois, ça n’est pas la grandeur austère de la Haute-Provence, la facilité visuelle par trop évidente du Sud méditerranéen, mais le Poitou-Charentes, c’est bien déjà le Sud…

Paris, un dimanche de fin d’été

« Je ne sais plus quoi faire de moi ni de ma vie. J’ai juste envie d’errer dans la ville comme si j’étais invisible. »
Vanna Vinci, « Chats noirs chiens blancs »