Dimensions des 5 premiers modèles réduits

Pour préparer la création des futurs modèles, j’épluche mes volumineuses archives photos de Paris et reprends le carnet de croquis. Des nouvelles bientôt et, en attendant, les dimensions des modèles existants…

Vieux Paris # 1« Vieux Paris #1 » :
largeur = 26,5
profondeur = 22 cm
hauteur = 28,5 cm

 

 

 

 

Rue Galande« Rue Galande » :
largeur = 52 cm
profondeur = 31 cm
hauteur = 33 cm

 

 

 

 

Paris 12ème Petite Ceinture, premier fond de mise en couleur« Petite ceinture, Paris 12ème » :
largeur = 55 cm
profondeur = 22 cm
hauteur = 40 cm

 

 

 

Rue Mouffetard« Rue Mouffetard » :
largeur = 51 cm
profondeur = 47,5 cm
hauteur = 44,5 cm

 

 

 

 

Place d'Italie« Place d’Italie » :
largeur = 40 cm
profondeur = 53 cm
hauteur = 54,5 cm

Mise en couleurs des premiers modèles réduits (1)

Bien parti sur la lancée d’un nouveau démarrage, je poursuis avec des couleurs en demi-teinte qui siéent le mieux à ces modèles parisiens.

De l’acrylique certes (en attendant d’expérimenter par la suite d’autres types de peinture plus « artisanales »), mais avec des jus et glacis rappelant plus l’aquarelle que la peinture empâtée et colorée des anciennes maisons de Montréal.

Peinture des modèles « Petite ceinture, Paris 12ème » et « Rue Galande » presque complétée. En parallèle, pose des enduits du « Toit #1 », préparation des premiers fonds colorés de « Vieux-Paris #1 », et mise en chantier d’un nouveau modèle, inspiré de l’esquisse de la Rue Mouffetard.

À suivre !

Nouveau départ pour la mise en couleur des modèles réduits

 

Paris 12ème Petite Ceinture, premier fond de mise en couleur

Bon, il était temps que ça bouge…

Une pause bienvenue dans les commandes d’audiodescription me permet de retoucher un peu aux pinceaux et de chercher la solution au problème qui me taraude depuis trop longtemps : quelle mise en couleur pour les modèles réduits de Paris achevés ? Comment mettre en valeur et enrichir le volume sans le dégrader par trop de couleurs ? Ne pas effacer la sculpture sous une mauvaise peinture ? Ou comment faire de la peinture et pas du coloriage ? Les premiers essais ne s’étaient pas du tout révélés convaincants. L’utilisation de mon habituel camaïeu de Terre de Sienne / Gris de Payne / Brun Van Dyck comme base de départ — avec effets de matières créés par les glacis et dégoulinures — semble cette fois prometteur. Il « suffira » ensuite de préciser des teintes, des détails et de poser ça et là des accents.

En fait, à en juger par cette première photo, il aurait suffi que je regarde un peu plus tôt la couleur de mes murs, visibles à l’arrière-plan…

À suivre !

Premiers essais de mise en couleur…

Bon, quand faut y aller… Après les enduits, la peinture. C’est l’ultime étape et la plus difficile. Comment finaliser ces modèles réduits, les mettre en couleur sans les « colorier », ajouter sans enlever, rehausser la beauté des formes plutôt que l’amoindrir ? Bref, essayer de faire de la peinture. Et plus envie ici de reproduire le style naïf des anciennes maisons de Montréal et de l’est canadien ; ni de recourir au trompe l’œil : les ombres ne seront plus peintes mais créées par la lumière glissant sur les textures et les volumes. Pour l’instant, premiers essais sur « Petite ceinture, Paris 12ème ». Pas évident évident, mais bon, je sens que quelque chose va se mettre en place. Comme souvent en art plastique et en bricolage, c’est dans l’action qu’une solution finira par émerger… ou pas.
À suivre !

Poursuite des enduits…

L’audiodescription m’accorde une pause et me permet de ressortir gesso, peinture et pinceaux. Le travail reprend pour finir d’enduire de plâtre et de gesso mes trois premiers modèles… Deux autres prototypes sont à l’étude probablement inspirés des dessins de la rue Mouffetard et de la place d’Italie — ainsi que la finalisation du tout premier « toit ». Mais il faut avant de les pousser trop avant aborder pour les modèles déjà fabriqués l’étape cruciale de la mise en couleur…

« Petite ceinture, Paris 12ème » (étape carton)

Dernier modèle réduit, inspiré mais de façon éloignée des immeubles qui se pressent devant le balcon de mon atelier provisoire du boulevard Poniatowsky, de l’autre côté des voies ferrées rouillées de la petite ceinture. On notera l’allure assez massive et carrée (due probablement à la découverte de nouveaux outils, la «règle» et l’«équerre»), contrebalancée par un toit très cheminesque*. Ici pas d’immeubles de guingois ; normal puisque les immeubles concernés sont relativement plus récents, datant du début des années 1900.

L’avant de l’immeuble ne m’ayant pas du tout inspiré, c’est uniquement le côté «cour» qui est reproduit, ce modèle n’a donc pas de verso. Dimensions : largeur 55 cm ; profondeur 21 cm ; hauteur 40 cm. Du fait des dimensions qui augmentent (et me laissent entrevoir la possibilité un jour de pouvoir habiter dans mes propres créations si je deviens SDF), on notera une certaine abondance de détails : croisées de fenêtres, lanterneaux par exemple.

* cheminesque, adj : se dit d’un toit qui par ses nombreux éléments (cheminées mais aussi lanterneaux, lucarnes, corniches, mitrons, etc.) invite au cheminement du corps, de l’œil ou de la pensée. (DicoPlumo)

Interruption temporaire. Probable prochain épisode : tests de colle de farine ou de riz, d’enduits au fromage blanc ou à la caséine, enduit à la colle de peau et à la chaux éteinte, peinture à l’oeuf, etc. Une drôle de cuisine…  À bientôt !